Foil attitude

Cela va faire 3 ans que je pratique le foil. Cette discipline ne fait que se diversifier et s’améliorer, c’est passionnant !
Les variables permettant de multiples pratiques sont les types de planches (surf ou SUP) et leurs dimensions et aussi les choix d’assemblages mât-foil.
Pour se propulser et décoller, plusieurs solutions:
Le foil tracté
J’ai débuté en me faisant tracter par un bateau, cela permet de s’habituer aux appuis et d’adapter son placement. C’est une pratique que je n’ai pas abandonné, car elle permet de continuer à progresser et aussi d’arriver lancé et de poursuivre à la force des jambes en pompant, comme je l’ai fait pour dépasser l’Hermione ou de connecter un sillage et le surfer jusqu’à plus soif comme je l’ai fait derrière le Molenez, le bateau de fret des iles du Parc Marin d’Iroise.
Le foil autonome
Il s’agit de se propulser avec une pagaie si on opte pour une planche de SUP ou à la force des bras si on opte pour une planche de surf. Dans les 2 cas, la planche est spécifique avec moins de longueur et une répartition différente des volumes. Le strict minimum nécessaire à se lancer est recherché car en vol, seul le foil est en contact avec l’eau.
Plusieurs clips dans ma playlist « Foil » sur You Tube illustrent cette pratique:
La wing foil
C’est la toute nouvelle pratique qui consiste à se propulser avec une aile. Quand le surfeur arrive à connecter une onde, il peut choisir de placer l’aile en position neutre pour n’utiliser que l’énergie de l’ondulation ou de la vague. J’ai démarré cette pratique cet été et vais bientôt partager quelques images. En attendant, juste une photo sur eau plate !
📷GALERIE















Liens
Article sur Surf Report
Article sur mon site
Crédit photo: Mathieu Carpentier, Christelle Carpentier, Bruno Detante, FFS, Arthur Arutkin, Albert P Laborda, Georgia Schofield-Starboard
Vous devez être connecté pour poster un commentaire.